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Sunday, February 5, 2012

Télécharger Ebook , by Scott Hampton

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Lorsque les concepts ayant pour être beaucoup plus efficace, ainsi que beaucoup mieux personne, un être avisé en permanence est sur la façon dont le processus, vous allez certainement acquérir. livre de lecture est en fait un processus qui vous soutiendra obtenir les motivations de plusieurs ressources. Même il comprend tout ce complexe de base à fait; publication vous accompagnera toujours ajouter leçon ainsi que l'expérience. , By Scott Hampton comme on se référer est également parmi les guides qui a des percées fantastiques. Oui, chaque publication a constamment des développements très propres.

, by Scott Hampton

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Se sentant brûlé pour passer la pause temps d'arrêt ou le week-end ou des vacances sans faire quoi que ce soit utile? Les dépenses parfois aussi est parfois simple, très simple. Pourtant, tous sont assez utiles? Il n'est pas le temps de passer le temps perdu. C'est le moment de prendre plaisir à tout le temps libre, mais avec des tâches motivantes. Ayant également des vacances en vacances quelque part, il est également utile. Et ci-dessous, vous pouvez également épargner votre couple de fois pour examiner une publication; le , By Scott Hampton est ce que nous vous conseillons pour vous.

Pour vous faire gagner peu tomber amoureux de vérifier, nous vous proposerons certainement de lire les données douces de , By Scott Hampton. Auparavant, vous devez le faire en faisant affaire avec le lien du livre. Ce livre est une sorte de lire la publication favorisée par beaucoup de gens, de partout dans le monde. Lorsque vous souhaitez faire de telles aventures, mais vous n'avez pas encore assez d'argent, lire une publication et vous pouvez également l'impression d'être dans votre véritable expérience.

La lecture sera certainement pas imager vous faire constamment aussi bien que rêver au sujet de quelque chose. Il doit être à la mode qui va vous sentir aussi sensible et intelligent pour mener cette vie. Même analyse pourrait être terne, cela dépendra du type de livre. Vous pouvez sélectionner , By Scott Hampton qui se sentira certainement pas vous faire vraiment ennuyé. Oui, ce n'est pas proche parent du livre amusant ou un livre spoof. Ceci est une publication où chaque mot sera certainement vous donner un sens profond, mais très facile et simple dit.

Lors de la sélection de cette , By Scott Hampton pour obtenir ainsi que de vérifier, vous allez commencer à partir de la première page Web et faire une offre à l'aimer beaucoup. Ouais, ce livre a vraiment formidable état du livre de vérifier. Exactement comment le tirage au sort de l'écrivain dans les téléspectateurs est très sage. Les pages vont certainement vous montrer pourquoi le livre existe pour les grandes personnes. Ils vont certainement vous concernent d'être celui qui est mieux en subissant la vie et l'amélioration de la vie aussi.

, by Scott Hampton

Détails sur le produit

Format : Format Kindle

Taille du fichier : 201216 KB

Nombre de pages de l'édition imprimée : 272 pages

Editeur : Urban Comics (26 octobre 2018)

Vendu par : Amazon Media EU S.Ã r.l.

Langue : Français

ASIN: B07J5YTPQ8

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Moyenne des commentaires client :

3.5 étoiles sur 5

2 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

n°502.574 dans la Boutique Kindle (Voir le Top 100 dans la Boutique Kindle)

Ce tome est le premier de l'adaptation du roman de Neil Gaiman du même nom : American Gods (2001). Il comprend les 9 épisodes de la première saison, initialement parus en 2017, écrits et mis en page par Philip Craig Russell, dessinés et peints par Scott Hampton, avec des couvertures réalisées par Glenn Fabry, et des couvertures alternatives par David Mack. Il comprend également une séquence dessinée par P. Craig Russell (4 pages), une par Walter Simonson (4 pages), une par Colleen Doran (8 pages) et une par Glenn Fabry (11 pages). Il contient un cahier de 27 pages de recherches graphiques, et les couvertures alternatives réalisées par Skottie Young, Becky Cloonan, Fábio Moon, Dave McKean, David Mack, Bill Sienkiewicz, Mark Buckingham, Scott Hampton.Shadow Moon est un afro-américain qui arrive au bout de sa peine de prison de 3 ans. C'est un individu costaud dont la carrure lui a permis de ne pas se faire embêter. Il s'est tenu à carreau et a passé le temps en entretenant sa forme physique et en s'entraînant à des tours de magie à base de pièces de monnaie. Il s'est tenu à l'écart de toutes les embrouilles. Le soir, il imagine ce qu'il fera quand il sera libre : prendre un vrai bain, retrouver sa femme Laura McCabe, se tenir à l'écart de toute magouille. Un détenu lui a prêté son exemplaire de Histoires d'Hérodote d'Halicarnasse (-480 à -425). Un mois avant sa sortie de prison, il voit un conseiller à qui il peut dire que quelqu'un l'attend à sa sortie (sa femme) et qu'il a même un boulot d'assuré. Deux jours avant sa sortie, un garde vient le chercher pour un entretien avec le responsable de la sécurité. Il lui indique qu'il va être libéré un peu en avance, pour lui permettre de se rendre à l'enterrement de sa femme, décédée dans un accident de voiture. Il lui présente ses condoléances.Shadow Moon sort de prison, prend le bus, prend un premier avion, puis un second, puis un troisième après avoir couru pour attraper sa correspondance. Le passager assis à côté de lui indique qu'il est en retard. C'est un homme portant, chemise, cravate et veste, avec un Å“il gauche mort et une balafre en travers de l'arcade sourcilière gauche. Il lui indique qu'il a un boulot pour lui. Shadow Moon ne donne pas suite et laisse Mister Wednesday derrière lui, alors qui prend une voiture de location pour se rendre dans sa ville. De manière inexplicable, Wednesday est en train de se soulager aux urinoirs lorsqu'il s'y rend lui-même après avoir fait de la route. À Los Angeles, une femme prostituée (Bilquis Withaq) reçoit un client chez elle. Elle lui demande de l'adorer. Il se rend compte qu'il est en train de jouir de la meilleure partie de jambes en l'air qu'il n'a jamais connue.Quand il se lance à la découverte de ce tome, le lecteur a forcément conscience qu'il s'agit de l'adaptation d'un roman. Philip Craig Russell est un habitué des adaptations des romans de Neil Gaiman. Celle-ci a été mise en chantier pour coïncider avec l'adaptation télévisuelle du même roman. La présentation de l'ouvrage ne précise pas le degré d'implication de Neil Gaiman, si ce n'est qu'il est l'auteur de l'histoire et des mots, et que Russell est le responsable du script. Le lecteur reconnaît bien le processus de production des comics américain, mais avec un découpage un peu différent de d'habitude : un adaptateur qui se charge de la mise en page, un artiste qui assure la finition des esquisses et leur mise en couleurs. La participation de Walter Simonson, Colleen Doran et Glenn Fabry correspond à des retours en arrière expliquant comment des divinités ont pu s'installer en Amérique du Nord. Le lecteur prend plaisir à voir les pages de P. Craig Russell finalisées par lui-même. Les pages de Simonson sont sympathiques, mas sans avoir la puissance mythologique attendue. Celles de Doran sont beaucoup plus nuancées, parfaitement en phase avec l'époque décrite. Enfin celles de Fabry ont une texture charnelle apportant une force et une intensité incroyable à la séquence.Si le lecteur connaît déjà le travail de P. Craig Russell, il retrouve sa manière de découper les planches et de dessiner. Il utilise essentiellement des cases rectangulaires, de taille variable, parfois très petites, comme pour insérer un détail minuscule, ou pour la présence d'un élément dans un espace trop réduit. Lorsque le récit s'oriente vers une dimension onirique ou spirituelle, il peut utiliser des cases de forme irrégulière, qui ne sont pas disposées en bande bien rectiligne. Russell est adepte du dessin épuré, avec une importance donnée aux contours pour les personnages, et aux lignes structurantes pour les décors. Il recherche une impression réaliste, mais avec le minimum de détails. Ainsi les pièces dans lesquelles se tiennent les personnages sont souvent réduites à un ou deux traits verticaux pour en figurer les angles et un ou deux traits pour délimiter la frontière entre les murs et le plafond. Pour une raison non explicite, Russell aime bien également les pièces avec une grande hauteur sous plafond, même si cela ne correspond pas au type de construction. De la même manière, les personnages peuvent se tenir dans une case dépourvue de tout arrière-plan pour mettre en avant leur discussion. Ces choix graphiques donnent parfois une impression de narration visuelle naïve et un peu détachée du point de vue émotionnel. D'un autre côté, elle permet de mieux faire passer les éléments magiques ou oniriques.Les esquisses de P. Craig Russell sont donc complétées par les finitions de Scott Hampton. Ce dernier affectionne les traits de contour très fins, ce qui confère une impression un peu éthérée aux personnages et aux décors. Il respecte la volonté d'épure de Russell, tout en habillant un peu ses dessins avec la mise en couleurs, sans chercher à cacher les zones vides des dessins. Il ne lisse pas ses traits de contour, les légères irrégularités apportant une petite complexité aux éléments ainsi détourés. Il complète parfois les cases avec des photographies retouchées, ou avec des décors plus élaborés. Cette façon d'achever les esquisses présente l'avantage de rendre insensible le glissement de la réalité vers l'onirisme ou le spirituel, de donner une allure grimaçante ou surnaturelle au visage de certains personnages, de donner plus de consistance à un décor en le représentant avec plus de détails ce qui l'ancre plus fortement dans la réalité. Le lecteur peut aussi considérer que le degré de détails ou celui de réalisme reflète le degré d'attention ou de concentration du personnage principal, ou son état d'esprit, sa façon d'appréhender la réalité ou de glisser vers un état de fugue. Les fluctuations d'un mode de représentation vers un autre provoquent également une sorte de flottement dans l'esprit du lecteur qui ne sait pas toujours comment ajuster son mode d'interprétation de ce qu'il lit.Même s'il n'a pas fait attention au fait qu'il s'agit de l'adaptation d'un roman, le lecteur se rend vite compte des spécificités du mode narratif. Les cellules de texte du narrateur omniscient sont présentes environ 8 pages sur 10, apportant des informations complémentaires sur l'état d'esprit d'un personnage, sur son histoire personnelle, sur ce qu'il est en train de faire. S'il a déjà lu un roman de Neil Gaiman, le lecteur identifie tout de suite sa voix d'auteur et comprend qu'il doit prendre au pied de la lettre le fait que les mots sont de Neil Gaiman, dans cette adaptation. Il remarque aussi qu'il arrive de temps en temps que ces cellules de texte disent pour partie ce que montrent déjà le dessin auxquelles elles sont accolées. L'intrigue s''avère assez linéaire, puisqu'elle suit Shadow Moon dans l'ordre chronologique des événements qui lui arrivent. Dans le même temps, la narration donne l'impression au lecteur de cumuler de nombreux détails anecdotiques, sans grande signification par rapport à l'histoire générale. Parfois un détail acquiert de l'importance des dizaines de pages plus loin (la lecture des Histoires d'Hérodote), parfois le lecteur reste perplexe. Par exemple, quel sens donner au fait que Shadow Moon doive courir pour attraper une correspondance dans un aéroport ? Quelle importance qu'il passe devant un cimetière pour engins de chantier, avec un millier de bulldozers et de tracteurs ? Même en passant en mode poétique ou association libre d'idées, le lecteur ne perçoit pas de sens ou d'écho avec un autre élément du récit.Le lecteur accompagne donc Shadow Moon dans son étrange boulot, de servir d'homme de main ou d'homme à tout faire pour un vieil homme un peu excentrique, avec un objectif clair dans sa tête, mais indiscernable pour les autres. Il repère des actes de magie, d'abord de prestidigitation, puis des manifestations surnaturelles. Il voit l'intrigue progresser lentement, tout en ayant conscience que l'évolution de Shadow Moon est tout aussi essentielle au récit que les événements plus importants. Il reconnaît bien la capacité de Neil Gaiman à concevoir des situations et des endroits décalés à la poésie séduisante, comme cet étrange manège. D'un autre côté, le titre et les couvertures des épisodes ne laissent pas beaucoup de place au doute ou au suspense : il s'agit d'une histoire relative aux dieux existant sur le sol américain. Qu'il ait lu le livre auparavant ou non, le lecteur comprend vite la véritable nature de monsieur Wednesday (même s'il ne l'a pas forcément identifié jusqu'à pouvoir lui donner son vrai nom), ainsi que celle des personnes qu'il rencontre. Du coup, la dynamique du récit ne recèle pas de suspense, et n'en paraît que plus lente. En choisissant de rester évasif quant aux sens des épreuves de Shadow Moon, de laisser le lecteur interpréter ce qui reste implicite, il ajoute à l'étrangeté des situations (par exemple quand il travaille pour une entreprise de pompes funèbres dans la ville de Cairo), mais aussi il n'accroche pas toujours l'attention du lecteur si celui-ci est moins sensible à la métaphore d'une situation ou d'une autre, ou s'il n'y voit qu'une évidence, sans réelle résonnance émotionnelle, spirituelle ou ésotérique. En cela, P. Craig Russell & Scott Hampton se montre d'une fidélité exemplaire à l'Å“uvre originale, en transcrivant parfaitement le ressenti de la lecture du roman.Dès le premier épisode, le lecteur se rend compte de la qualité du travail d'adaptation réalisé, que ce soit dans la conception de la narration graphique qui réussit à marier les séquences les plus prosaïques avec les éléments plus oniriques et mystiques, ou dans l'interaction des mots et des images qui restituent à la perfection la tonalité et l'esprit de la prose de Neil Gaiman. Du coup, si le lecteur est sensible à aux romans de Gaiman, il éprouve le plaisir ineffable de se (re)plonger dans ce récit, 5 étoiles. S'il n'est pas en phase avec la sensibilité de l'auteur, il s'attache aux pas de Shadow Moon sans déplaisir, mais en se demandant quel est l'enjeu d'un tel récit, et en finissant par trouver le temps long malgré la qualité de l'adaptation, 3 étoiles.

En plongeant dans le premier tome d’American Gods, cadeau résultant d’une formidable rencontre et d’une très belle surprise, je ne savais pas grand-chose. Premièrement, j’avais très envie de le lire. Deuxièmement, c’est écrit par le grand, l’immense Neil Gaiman. Troisièmement, j’ai littéralement craqué sur la bande-annonce de la série d’Amazon Prime, surtout avec ce bison blanc aux yeux enflammés ! Bon le troisièmement n’apporte pas grand-chose à mon introduction, mais j’avais envie de placer ce bison blanc aux yeux enflammés.« Voici les dieux dont personne ne se souvient. Même leurs noms sont perdues. Quand les dieux meurent, nul ne les pleure ni ne se les rappelle. Il est difficile de tuer une idée qu’un être vivant, mais ce n’est pas pour autant impossible. »« Ombre avait fait trois ans de prison. Comme il était plutôt costaud et avait l’air d’un dur à cuire, son plus gros problème était de trouver à s’occuper. »(Contient les épisodes American Gods : Shadows #1 à 9)Notre héros s’appelle Ombre. Cela fait quatre ans qu’il est en prison, pour coups et blessures. Détenu exemplaire, à la carrure imposante, Ombre attend avec impatience sa libération anticipée. Cela est pour dans quelques jours. Un bain bien chaud et mousseux, un peignoir douillet et des pantoufles, il prendrait ensuite sa femme Laura dans ses bras avant de s’enfermer dans la chambre avec elle pour rattraper tout ce temps perdu ! Peut-être un pizza après ça.Alors qu’il lui reste moins d’une semaine de prison, ce délai est encore raccourci, afin qu’il puisse se rendre à l’enterrement de Laura, sa femme, morte dans un accident de voiture, en compagnie de son meilleur ami. Ombre accuse le coup, et ne parvient pas à réaliser, à commencer son travail de deuil. Tout cela lui semble irréaliste, impossible ! Des sentiments encore accentués lorsqu’il découvre que Laura et Robbie, son meilleur ami, étaient amants !Ombre, personnage peu expressif, semble spectateur de sa vie, de ce nouveau départ, il glisse sur les événements et se laisse porter par le courant. C’est alors qu’il rencontre, dans l’avion le ramenant chez lui, monsieur Voyageur ! Un homme énigmatique et mystérieux qui semble tout savoir, dans les moindres détails, sur la vie de Ombre ! La prison, la mort de Laura, tout, de plus il tient à lui proposer un emploi.Comme le ferait n’importe qui, Ombre éconduit poliment cet étrange personnage, mais ne parvient pas à s’en débarrasser. Où qu’il aille, il se retrouve avec ce monsieur Voyageur dans les pattes. Plus il le croise, plus ils discutent ensemble et plus cet homme lui paraît bizarre, nous apparaît étrange. Néanmoins, pour le lecteur, plus monsieur Voyageur se présente, se livre à Ombre, plus on ne peut s’empêcher de faire le lien avec le titre de ce comics.N’arrivant pas à se débarrasser de ce nouvel « ami », ne parvenant toujours pas à faire le deuil de sa femme, et après avoir fait l’amour avec le « fantôme » de cette dernière, Ombre finit par céder et accepte de suivre Voyageur et son offre d’emploi.A ses côtés Ombre va rencontrer des personnages hors du commun, totalement originaux, hors norme. Très souvent, à leurs côtés Ombre semble complètement largué. Voyageur et ses « vieux » amis ne font que parler par métaphores, par images, par non dits, à travers des souvenirs qui paraissent bien plus anciens que l’âge de ces personnages. Voir carrément ancestraux, immémoriaux ! Et puis il vit des choses inimaginables, inconcevables, et les doutes ne sont alors plus permis ! Voyageur est un dieu !Pas Dieu, mais un ancien dieu, Odin pour être précis. Et tous ces compagnons sont également d’anciennes divinités païennes. Quelque chose d’énorme se prépare, et Voyageur a besoin d’Ombre a ses côtés !Très franchement, je dois bien reconnaître que les débuts sont un peu poussifs. J’ai mis un peu de temps à rentrer dans l’histoire. Mais à partir du moment où l’on comprend de quoi Neil Gaiman veut parler, tout devient alors plus fluide. On plonge dans le récit, dans les récits qui nous sont proposés. Puisqu’à côté de l’intrigue principale, Neil Gaiman, et Craig Russell, qui adapte ce roman, nous présentent la vie d’autres dieux, d’autres créatures fantastiques comme les Djinns ou les Leprechauns. De petites histoires courtes qui viennent ponctuer l’intrigue principale.Ce récit de Neil Gaiman est, à mon avis, un pamphlet contre les nouvelles technologies. On est tellement accroc à nos téléphones, à nos réseaux sociaux, à nos télévisions que Neil Gaiman associe cette dépendance excessive et néfaste à de nouvelles idoles, à de nouveaux « dieux ». Tous ces vieux dieux, qui se retrouvent « bloqués » aux États-Unis de par l’immigration, les voyages de leurs croyants, de leurs fidèles dans des temps très anciens ont peur d’être définitivement oubliés, et donc de « mourir » de disparaître, se décident à livrer une « guerre » contre ces nouveaux dieux !L’idée est géniale ! Déjà rien que le fait d’imaginer que ces anciens dieux errent sur les terres où leurs fidèles sont allées. Comme le fait de voir Odin errer aux États-Unis suite au passage des Vikings il y a des centaines d’années. Mais le fait d’opposer ces vestiges du passé à de nouvelles divinités, matérielles, comme toutes ces nouvelles technologies, utiles au quotidien mais qui nous gangrènent malgré nous, c’est juste incroyable. Certes ce ne sont que des objets, mais on y voue, de manière générale, un culte comme à l’époque des dieux païens. Qui ne connaît pas un ami qui croit tout ce qui est dit sur internet, simplement parce que c’est internet. Combien de fois voyons nous en concert ou durant un événement sportif des gens qui regardent l’événement à travers leurs téléphones. Il y a tellement d’exemple.Graphiquement, c’est très artistique. Je ne connaissais pas du tout Scott Hampton. C’est très épuré, l’artiste se contente du strict minimum, mais cela suffit. Il appui sur les éléments importants, les sublime, va à l’essentiel et capte notre regard avec des approches artistiques très différentes.Bref, j’avais envie de me jeter dans American Gods, sans trop savoir où j’allais. Après des débuts un peu lents, un peu compliqués, j’ai complètement été happé par les prémices de ce formidable combat qui se prépare entre les anciens dieux païens et les nouveaux immatériels et technologiques. L’idée est géniale, l’écriture l’est encore plus, le développement extraordinaire. Vivement la suite, et je pense me lancer sur le roman.

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